Si le crime présumé est trop audacieux et effronté pour être cru, la réaction non scientifique d’incrédulité nous empêche de suivre notre curiosité naturelle… d’examiner la question avec un esprit scientifique”.
Torsten Trey, MD, PhD
Fondateur et directeur exécutif de DAFOH,

Un rapport de 70 pages, présente les preuves essentielles de décennies de crimes liés aux transplantations d’organes en Chine et montre que les démentis farouches de l’État chinois concernant les atrocités médicales commises à l’encontre du Falun Gong et ainsi que ses promesses de mettre fin aux prélèvements forcés d’organes sur des personnes vivantes, ne sont que des paroles en l’air visant à faire taire les critiques de l’industrie criminelle des transplantations d’organes.
Les prélèvements forcés d’organes, c’est-à-dire l’assassinat par l’État chinois de prisonniers pour leurs organes, est un crime contre l’humanité et, dans le cas du Falun Gong bouddhiste, un génocide silencieux. Les chirurgiens transplanteurs chinois, attirés par les incitations financières et la réputation, se livrent à cette pratique grotesque sur ordre du gouvernement, dans le but de réduire au silence et d’éliminer les personnes les plus religieuses de Chine. Les prélèvements forcés d’organes sont “solution finale” de la persécution contre la communauté Falun Gong, commettant ainsi un “génocide lent” sans laisser de trace.
Le rapport indique que l’absence de réaction de la communauté internationale face aux crimes de transplantation commis par l’État chinois, lui on permis de perpétrer des crimes similaires contre les Ouïghours et d’autres groupes, et de commettre d’horribles malfaisances médicales qui ont causé des millions de décès dus au COVID-19 et gravement endommagé les économies du monde entier.
DAFOH appelle le public à agir sans tarder pour aider à sauver des vies en brisant le silence sur les victimes des prélèvements forcés d’organes et d’en parler à leurs élus, leurs familles et leurs amis.