Les prélèvements forcés d’organes en Chine et leurs implications mondiales

Les prélèvements forcés d’organes sont non seulement contraires à l’éthique, mais aussi de nature criminelle. Cette pratique se déroule en Chine, à grande échelle, dans un environnement où les lois sont absentes et où les poursuites judiciaires pour ce crime sont peu probables.
Il en résulte un phénomène de pratique secrète « organisée par l’État » ou « commanditée par l’État » et sous surveillance militaire. De ce fait, les prélèvements forcés d’organes sur des personnes vivantes ne peuvent que se produire dans une société autoritaire.
Dans l’analyse, nous constatons qu’il existe un ensemble diversifié et hétérogène d’avantages derrière les prélèvements forcés d’organes. Avantage avec des incitations financières accordées aux médecins et autres bénéficiaires qui constitue un mécanisme d’auto-promotion et garantit la continuité de cette pratique.
Et avantage pour le gouvernement chinois, qui lui poursuit sa campagne brutale de persécution et d’éradication pour bénéficier d’une « solution finale » déplaçant ainsi le dispositif controversé d’exécution du tribunal à la salle d’opération et un instrument pour poursuivre un « génocide lent», secret et insidieux contre le Falun Gong depuis des décennies.
Comprendre les prélèvements forcés d’organes à travers une appréciation des groupes de victimes, en tant que solution ultime pour les « faire taire » et éradiquer leur pratique religieuse, est utile car cela fournit également une solution pour mettre un terme à cette pratique abusive.