Connaitre les victimes, c’est comprendre comment les sauver.

Photo des pratiquants qui suivent l’ancienne tradition chinoise et qui subissent la persécution.

Afin d’arrêter les prélèvements forcés d’organes, il faudrait inverser le processus et prêter une attention particulière à la principale source de victimes, les pratiquants de Falun Gong. Si le monde connaissait les victimes, la « solution finale » du PCC consistant à les réduire au silence et à les éradiquer serait vaincue et dénuée de sens. Briser le silence irait à l’encontre de l’objectif de l’auteur du crime, et serait alors le moyen le plus pacifique et le plus puissant de mettre fin à la pratique des prélèvements forcés d’organes.

Comprendre ce que l’État chinois cherche à cacher, c’est briser le silence (lien pour section FG).

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