2022-10-01
L’Institut de recherche sur les questions économiques et fiscales, un think tank basé à Paris et composé d’universitaires et d’hommes d’affaires, a publié le 4 juillet un article intitulé “Le prélèvement d’organes en Chine ou le business criminel d’une dictature.”
Les auteurs commençaient ainsi : “Alors que la Chine est souvent louée pour son ascension dans le classement des puissances mondiales ou ses prouesses technologiques et économiques (épidémiologiques ?), peu font l’effort d’examiner le danger que représente la doctrine communiste prônée par l’État chinois et l’immense désastre produit par ce régime sur une population au garde-à-vous.”
Ils décrivent ensuite les nombreuses preuves accumulées par des enquêteurs indépendants depuis 2009 et soulignent comment l’industrie chinoise de la transplantation a connu une croissance exponentielle après 2000 en l’absence d’un système de don volontaire et offre des temps d’attente pour les organes de quelques jours à quelques semaines.
Les auteurs posent la question évidente à laquelle peu d’Occidentaux semblent vouloir répondre : D’où viennent tous les organes utilisés pour les opérations de transplantation en Chine ? “La réponse à cette question fait froid dans le dos”, répondent les auteurs. “La croissance spectaculaire des transplantations depuis 1999 est en effet concomitante de la répression massive et brutale, par les autorités, des adeptes du Falun Gong, une pratique de méditation fondée sur des traditions de santé et de développement personnel.”
L’article se concluait par la déclaration suivante : “La communauté internationale est silencieuse. Sans doute est-il temps pour les adorateurs occidentaux du pouvoir chinois d’ouvrir les yeux sur la réalité de cette idéologie communiste mortifère.”
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