Déclaration de collaboration entre DAFOH et l’AFN

Communiqué de presse 22-10-2022

En collaboration, Doctors Against Forced Organ Harvesting, DAFOH, et l’Académie des infirmières médico-légales, l’AFN (Academy of Forensic Nurses), partagent fièrement une vision commune pour aider à mettre un terme aux prélèvements forcés d’organes et protéger et promouvoir les pratiques médicales et infirmières éthiques dans le monde entier. Cet effort vise à répondre à l’appel mondial urgent pour mettre fin aux prélèvements forcés d’organes et à remplir cette mission par le leadership, l’éducation, un système de bourse et la diffusion des connaissances pour guider les cliniciens et sensibiliser la communauté médicale et le public.

Doctors Against Forced Organ Harvesting, DAFOH, une ONG internationale à but non lucratif 501(c) basée à Washington DC, a été fondée par des médecins en 2006, avec pour mission d’informer et d’éduquer la communauté médicale et infirmière internationale, ainsi que l’humanité, au sujet de la crise en matière des droits de l’homme que représente le prélèvement forcé d’organes contraires à l’éthique

DAFOH, qui est représentée à Taïwan, en France et en Italie, a publié de nombreux rapports et analyses indépendants sur la médecine des transplantations et les prélèvements forcés d’organes en Chine. Deux fois nominé pour le prix Nobel de la paix en 2016 et 2017, DAFOH a également reçu le prestigieux prix Mère Teresa pour la justice sociale en 2019 en reconnaissance de son travail dans ce domaine.

L’Académie des infirmières et infirmiers médico-légaux, l’AFN, applique la science et les processus infirmiers aux procédures publiques ou judiciaires et à l’application des soins de santé médico-légaux dans les enquêtes scientifiques sur les traumatismes et/ou les décès liés aux mauvais traitements, à la violence, aux activités criminelles, à la responsabilité civile et aux accidents. Le rôle et la spécialité des infirmières médico-légales sont reconnus mondialement, fournissant des soins en tenant compte des traumatismes, recueillant des données probantes et collaborant avec les gouvernements et les équipes juridiques.

La collaboration de DAFOH et de l’AFN représente un créneau très particulier en éthique médicale et infirmière visant à mettre un terme aux prélèvements forcés d’organes en Chine et partout où ils peuvent se produire. Les prélèvements d’organes sont traditionnellement un acte altruiste qui préserve la vie, mais les prélèvements forcés d’organes constituent un crime contre l’humanité et nuisent aux droits de l’homme à travers le monde. Cette violation est profondément la pire manifestation d’exaction dans les disciplines médicales et est considérée comme un génocide froid. Ses auteurs visent à subvertir la justice, à normaliser les violations de l’autodétermination, du libre arbitre et du consentement volontaire et éclairé.

Le contexte :

Les prélèvements forcés d’organes impliquent le meurtre des personnes qui y sont soumises. En 1984, la République populaire de Chine a adopté des dispositions favorisant les prélèvements non consentis d’organes sur les prisonniers exécutés. En l’absence d’un programme public de don volontaire d’organes, cette mesure a permis à la Chine de mettre au point une technologie de transplantation d’organes (c.-à-d. des périodes ischémiques courtes) et des systèmes de transplantation d’organes les plus rentables au monde. Objet d’indignation et d’examen par la communauté médicale internationale, la Chine a élargi cette mesure pour inclure les prélèvements d’organes sur les prisonniers de conscience. Les organes prélevés sur des prisonniers de conscience vivants n’entrent dans aucun cadre légal, ils restent donc invisibles, non comptabilisés et passés sous silence.

Les condamnations à mort pour acte criminel représentent un nombre limité d’organes obtenus par prélèvement forcé, et le Falun Gong et d’autres victimes innocentes (Tibétains, Ouïghours, chrétiens et prisonniers politiques) ne sont pas des criminels pour lesquels une peine mortelle s’applique.

Les activités de transplantation de la Chine ont augmenté parallèlement à l’expansion des prélèvements forcés d’organes avec l’apparition soudaine de la persécution, organisée par l’État, de millions de pratiquants de Falun Gong en 1999. La Chine indique que le nombre annuel de transplantations d’organes a augmenté d’au moins 300% après 1999. En l’absence d’explication rationnelle de l’abondance soudaine d’organes et constatant des délais d’attente courts sans précédent de moins de 14 jours pour une greffe, la question de savoir d’où provenaient ces organes est apparue dans les années 2000. En 2006, des témoins indépendants et des enquêtes préliminaires ont indiqué que le boom des transplantations en Chine reposait en grande partie sur les organes prélevés auprès de pratiquants religieux du Falun Gong en détention, qui seraient les principales victimes de cette pratique cautionnée par l’État. Victimes d’une campagne de haine brutale à l’échelle nationale contre eux depuis 1999, le développement de la persécution de ce groupe est parallèle à la croissance exponentielle des transplantations et du tourisme de transplantation en Chine.

En raison d’une réponse mondiale insuffisante, cette persécution progressive et insidieuse se poursuit aujourd’hui et s’est aggravée au profit d’un « génocide froid » rentable contre le Falun Gong. Jusqu’à présent, le monde n’avait jamais entendu parler de meurtre systématique et organisé par un État de citoyens dans le but de prélever leurs organes.

Déclaration de collaboration entre DAFOH et l’AFN
 28 02 2022

En collaboration, Doctors Against Forced Organ Harvesting, DAFOH, et l’Académie des infirmières médico-légales, l’AFN (Academy of Forensic Nurses), partagent fièrement une vision commune pour aider à mettre un terme aux prélèvements forcés d’organes et protéger et promouvoir les pratiques médicales et infirmières éthiques dans le monde entier. Cet effort vise à répondre à l’appel mondial urgent pour mettre fin aux prélèvements forcés d’organes et à remplir cette mission par le leadership, l’éducation, un système de bourse et la diffusion des connaissances pour guider les cliniciens et sensibiliser la communauté médicale et le public.

Doctors Against Forced Organ Harvesting, DAFOH, une ONG internationale à but non lucratif 501(c) basée à Washington DC, a été fondée par des médecins en 2006, avec pour mission d’informer et d’éduquer la communauté médicale et infirmière internationale, ainsi que l’humanité, au sujet de la crise en matière des droits de l’homme que représente le prélèvement forcé d’organes contraires à l’éthique

DAFOH, qui est représentée à Taïwan, en France et en Italie, a publié de nombreux rapports et analyses indépendants sur la médecine des transplantations et les prélèvements forcés d’organes en Chine. Deux fois nominé pour le prix Nobel de la paix en 2016 et 2017, DAFOH a également reçu le prestigieux prix Mère Teresa pour la justice sociale en 2019 en reconnaissance de son travail dans ce domaine.

L’Académie des infirmières et infirmiers médico-légaux, l’AFN, applique la science et les processus infirmiers aux procédures publiques ou judiciaires et à l’application des soins de santé médico-légaux dans les enquêtes scientifiques sur les traumatismes et/ou les décès liés aux mauvais traitements, à la violence, aux activités criminelles, à la responsabilité civile et aux accidents. Le rôle et la spécialité des infirmières médico-légales sont reconnus mondialement, fournissant des soins en tenant compte des traumatismes, recueillant des données probantes et collaborant avec les gouvernements et les équipes juridiques.

La collaboration de DAFOH et de l’AFN représente un créneau très particulier en éthique médicale et infirmière visant à mettre un terme aux prélèvements forcés d’organes en Chine et partout où ils peuvent se produire. Les prélèvements d’organes sont traditionnellement un acte altruiste qui préserve la vie, mais les prélèvements forcés d’organes constituent un crime contre l’humanité et nuisent aux droits de l’homme à travers le monde. Cette violation est profondément la pire manifestation d’exaction dans les disciplines médicales et est considérée comme un génocide froid. Ses auteurs visent à subvertir la justice, à normaliser les violations de l’autodétermination, du libre arbitre et du consentement volontaire et éclairé.

Le contexte :

Les prélèvements forcés d’organes impliquent le meurtre des personnes qui y sont soumises. En 1984, la République populaire de Chine a adopté des dispositions favorisant les prélèvements non consentis d’organes sur les prisonniers exécutés. En l’absence d’un programme public de don volontaire d’organes, cette mesure a permis à la Chine de mettre au point une technologie de transplantation d’organes (c.-à-d. des périodes ischémiques courtes) et des systèmes de transplantation d’organes les plus rentables au monde. Objet d’indignation et d’examen par la communauté médicale internationale, la Chine a élargi cette mesure pour inclure les prélèvements d’organes sur les prisonniers de conscience. Les organes prélevés sur des prisonniers de conscience vivants n’entrent dans aucun cadre légal, ils restent donc invisibles, non comptabilisés et passés sous silence.

Les condamnations à mort pour acte criminel représentent un nombre limité d’organes obtenus par prélèvement forcé, et le Falun Gong et d’autres victimes innocentes (Tibétains, Ouïghours, chrétiens et prisonniers politiques) ne sont pas des criminels pour lesquels une peine mortelle s’applique.

Les activités de transplantation de la Chine ont augmenté parallèlement à l’expansion des prélèvements forcés d’organes avec l’apparition soudaine de la persécution, organisée par l’État, de millions de pratiquants de Falun Gong en 1999. La Chine indique que le nombre annuel de transplantations d’organes a augmenté d’au moins 300% après 1999. En l’absence d’explication rationnelle de l’abondance soudaine d’organes et constatant des délais d’attente courts sans précédent de moins de 14 jours pour une greffe, la question de savoir d’où provenaient ces organes est apparue dans les années 2000. En 2006, des témoins indépendants et des enquêtes préliminaires ont indiqué que le boom des transplantations en Chine reposait en grande partie sur les organes prélevés auprès de pratiquants religieux du Falun Gong en détention, qui seraient les principales victimes de cette pratique cautionnée par l’État. Victimes d’une campagne de haine brutale à l’échelle nationale contre eux depuis 1999, le développement de la persécution de ce groupe est parallèle à la croissance exponentielle des transplantations et du tourisme de transplantation en Chine.

En raison d’une réponse mondiale insuffisante, cette persécution progressive et insidieuse se poursuit aujourd’hui et s’est aggravée au profit d’un « génocide froid » rentable contre le Falun Gong. Jusqu’à présent, le monde n’avait jamais entendu parler de meurtre systématique et organisé par un État de citoyens dans le but de prélever leurs organes.

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