Un rapport de 56 pages, évalué par des pairs, présente les preuves essentielles de décennies de crimes liés aux transplantations d’organes en Chine.

“Si le crime présumé est trop audacieux et effronté pour être cru, la réaction non scientifique d’incrédulité nous empêche de suivre notre curiosité naturelle… d’examiner la question avec un esprit scientifique”.
Torsten Trey, MD, PhD
Communiqué de presse – WASHINGTON , 10 December 2022
WASHINGTON , DC, USA , December 10, 2022 /EINPresswire.com/ —
Doctors Against Forced Organ Harvesting, DAFOH, une ONG de premier plan en matière d’éthique médicale, a publié un rapport spécial à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’homme, après 16 ans de plaidoyer et d’enquête sur les abus en matière de transplantation en Chine. Le rapport montre que les démentis farouches de la Chine concernant les atrocités médicales commises à l’encontre du Falun Gong et d’autres citoyens vulnérables, ainsi que ses promesses de mettre fin aux prélèvements forcés d’organes sur des personnes vivantes, ne sont que des paroles en l’air visant à faire taire les critiques de l’industrie criminelle des transplantations d’organes.
Le prélèvement forcé d’organes, c’est-à-dire l’assassinat par l’État de prisonniers pour leurs organes, est un crime contre l’humanité et, dans le cas du Falun Gong bouddhiste, un génocide silencieux. Par définition et par consensus, ces crimes ne peuvent être considérés comme des affaires intérieures d’un pays, quelles que soient les revendications de souveraineté. Les crimes contre l’humanité nuisent à notre communauté mondiale et constituent une menace pour l’ensemble de l’humanité.
Destiné à sensibiliser les organisations médicales occidentales, les gouvernements et le public et à les inciter à agir, ce rapport de 56 pages, qui a fait l’objet d’une évaluation par les pairs, fournit des informations complètes, retraçant l’image d’une pratique malhonnête aux proportions génocidaires, depuis ses origines jusqu’à la croissance rapide du commerce lucratif des transplantations en Chine aujourd’hui.
Les médecins greffeurs chinois, attirés par les incitations financières et la réputation, se livrent à cette pratique grotesque sur ordre du gouvernement, dans le but de réduire au silence et d’éliminer les personnes les plus religieuses de Chine. Le prélèvement forcé d’organes est devenu une partie de la “solution finale” de la Chine contre la communauté Falun Gong, commettant un “génocide froid” sans laisser de trace.
Les données présentées dans le nouveau rapport révèlent des détails essentiels et confirment plus de 25 ans de preuves établies. L’analyse des données explore la structure sociale de la Chine, son activité rentable de transplantation, l’offre d’organes, le nombre de dons et la brièveté sans précédent des délais d’attente. Des témoignages oculaires donnent un visage humain à la violence implacable du PCC à l’égard des victimes.
Le rapport est le fruit d’enquêtes crédibles menées par des experts internationaux sur des preuves tangibles. Le tribunal chinois, présidé par Sir Geoffrey Nice, a récemment examiné “une masse critique de faits” en 2019, et a conclu : “Des prélèvements forcés d’organes sur des personnes vivantes ont eu lieu en Chine, le groupe religieux Falun Gong étant une cible principale.”
Le fondateur et directeur exécutif de DAFOH, le Dr Torsten Trey, précise que la véritable nature du problème ne réside pas dans l’économie ou la politique, mais dans le programme du PCC visant à anéantir le Falun Gong. En souvenir des chambres à gaz des camps de concentration nazis, il déclare : “Si le crime allégué est trop audacieux et effronté pour être cru, la réaction non scientifique de l’incrédulité nous empêche de suivre notre curiosité naturelle et d’examiner la question avec un esprit scientifique.”
Le rapport intervient à un moment où les vagues de protestations en Chine ont atteint des proportions historiques dans un contexte de verrouillage excessif du COVID et de la mort d’un ancien dictateur et dirigeant du PCC.
Dans le cadre de la commission de crimes contre l’humanité, les médias occidentaux ont décrit l’ancien dirigeant du Parti communiste chinois (PCC), Jiang Zemin, en le créditant d’avoir guidé l’essor économique de la Chine, ignorant et minimisant ainsi la persécution génocidaire et le prélèvement forcé d’organes du Falun Gong et d’autres personnes religieuses.
Le rapport indique que l’absence de réaction de la communauté internationale face aux crimes commis par la Chine en matière de transplantation a permis à la Chine de perpétrer des crimes similaires contre les Ouïghours et d’autres personnes, et de commettre d’horribles malversations médicales qui ont causé des millions de décès dus au COVID-19 et gravement endommagé les économies du monde entier.
Le rapport souligne les efforts des législateurs qui ont contribué à sensibiliser l’opinion publique, mais qui n’ont pas réussi à faire cesser cette pratique. DAFOH appelle le public à agir sans tarder pour aider à sauver des vies en brisant le silence et en parlant aux élus, aux amis et aux collègues des victimes du prélèvement forcé d’organes.
Deborah Collins-Perrica CNS, APRN, Doctors Against Forced Organ Harvesting, DAFOH, Info@DAFOH.org
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